Black Carbon : le fruit à portée de main du changement climatique qui ne cesse de diminuer

Nous avons écrit ici, ici, et ici avant que le noir de carbone et les autres particules émises lors de la combustion incomplète du bois constituaient une cible évidente pour atténuer le changement climatique.

La bonne nouvelle est que la science derrière cela semble gagner du terrain. Le journal The Guardian a récemment cité une étude suggérant que "La suie provenant du bois brûlé et des gaz d'échappement diesel peut avoir deux fois plus d'impact sur le réchauffement climatique qu'on ne le pensait auparavant."

Et bien que les moteurs diesel sales et les tactiques de défrichage sur brûlis soient des sources plus importantes d'émissions de carbone noir, le document indique que "En Asie et en Afrique, les feux domestiques au bois représentent 60% à 80% d'émissions de suie."

Découvrez cette animation vraiment soignée de carbone noir qui flotte sur le globe et se dépose sur le nord de l'Inde.

"La suie réchauffe l'atmosphère en absorbant la chaleur entrante et diffusée du Soleil. Il favorise également la formation de nuages et génère un réchauffement supplémentaire en atténuant la surface réfléchissante de la neige et de la glace. L'étude, qui a impliqué 31 experts de premier plan du monde entier, a passé en revue toutes les données disponibles sur l'impact de la suie sur le climat.

La nouvelle survient près d'un an après que la secrétaire d'État sortante Hillary Clinton a annoncé la formation de la Climate and Clean Air Coalition to Reduce Short-Lived Climate Pollutants, une coalition de nations pour freiner le changement climatique et réduire la pollution de l'air en réduisant les polluants à courte durée de vie.

Lisez l'histoire complète sur le site Web du Guardian.

 

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